M – 1 : partir

A un mois du départ, du grand saut outre-Atlantique je vous présente le moyen de suivre mes aventures canadiennes via cette page. Quelques articles illustreront tout au long de l’année mes faits et gestes, mes impressions, mes voyages, mes rencontres. Mais ne vous inquiétez pas, si vous le souhaitez, vous aurez plus de détails par e-mail.

Pour ceux qui ont raté un wagon, je pars à Gatineau (Québec, banlieue d’Ottawa) pour un stage de 6 mois dans une société d’événementiel (Groupe Simoncic). Ensuite, y’a d’autres projets en préparation. Bref, je pars un an (merci la 3A de Sciences Po) !

Point à M-1.

Stage, visa, billet d’avion, permis international, visites médicales, check ! Toutefois, ce grand départ en Amérique m’inquiète un peu. Partir c’est quitter ce quotidien confortable, faire ce que je fais naturellement tous les jours ici, ailleurs. Partir c’est se mettre en danger, c’est se tester, c’est ne pas choisir la solution de facilité. Ma famille, mes amis, mon copain vont me manquer.Remarque la forêt et le camembert aussi. Mais pas de panique, je reviens dans une petite année ! Ce n’est qu’un au revoir. Un au revoir d’une petite année durant laquelle je penserai immanquablement à ceux qui comptent pour moi.

Et pendant ce dernier mois, c’est tour de France des au revoirs (plutôt sympa), rendez-vous banques, assurances etc (moins glam), essayer de penser à tout, manger des pancakes au sirop d’érable, apprendre le québécois, chercher une coloc à Gatineau, trier les affaires qui rentreront dans les 23 kgs de bagages alloués par Air Transat. Tout cela n’est pas de tout repos, en fait c’est l’aventure a déjà commencé depuis bien longtemps.

Donc pour me motiver, j’écoute Maitre Gims pour aller quelque part où « tout le monde s’en tape de ma life ».

A la revoyure avant mon départ.

Beck

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